Dire non au nucléaire

Quand donc arrêterons-nous cette folie énergétique qui explose (!) à travers une politique nucléaire planétairement aberrante ?

.

par Jane Hervé

.

logoLa dangerosité de cette énergie destructrice, prouvée dans les accidents à Fukushima, Tchernobyl et les actions guerrières à Hiroshima et Nagasaki, est désormais reconnue en amont au niveau de la recherche (Reggane, Tahiti, etc.), en aval au niveau de l’élimination impossible des déchets (haute mer ou autre).

.

Entre amont et aval, elle existe sous une autre forme (fragilité des centrales nucléaires existantes parfois fissurées, etc.). Cessons d’être des apprenti.es sorcier.es. Cessons d’ouvrir nos radiateurs et d’allumer nos lampes et d’utiliser nos cuisinières, etc. sans penser à l’origine de l’énergie que nous utilisons. Reconnaissons là une manière schizophrénique de se chauffer, de se nourrir, etc. Il faut que la raison nous revienne et que nous développions la recherche et l’utilisation d’énergies renouvelables non dangereuses pour le vivant (hommes, animaux, plantes). Elles existent : éoliennes, panneaux photovoltaïques, etc. Nous les avons déjà trouvées. Notre avenir est là.

.

Il nous faut reconnaître que le nucléaire est dépassé, que des risques prévisibles pèsent sur les générations futures, que nous n’avons pas le droit humain de les détruire a priori, que notre responsabilité est prospective (Hans Jonas) et – enfin – que nous avons le devoir de faire cesser de telles exactions scientifiques.

.

Pour une meilleure information, le réseau Sortir du nucléaire propose à la fois un état des lieux et la quête d’un avenir viable énergétiquement.

.
rezo-info@sortirdunucleaire.org

.

.


.