Largement pratiquée dans les pays anglo-saxons, l’observation des oiseaux des jardins connaît un développement croissant dans l’Hexagone. Lorsque la science participative vient renforcer la communauté des chercheurs, ce sont les espèces qui en bénéficient.
Il y en a qui comptent les moutons en s’endormant, d’autres qui comptent les oiseaux en se réveillant, les deux activités n’étant, du reste, pas incompatibles. Depuis 10 ans, en effet, des ornithologues amateurs se soumettent à un protocole aussi simple que rigoureux initié par le Muséum National d’Histoire Naturelle pour observer et comptabiliser les populations d’oiseaux près de chez eux.
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