Dans la période actuelle de transition, de mutation, voire de basculement, la question des savoirs se pose de façon cruciale. Au cœur des nouvelles représentations que la réalité impose, ils pourront ouvrir des récits et des pratiques d’innovation, d’adaptation, voire de rupture.
Le présent article se propose, rappelant d’abord les savoirs reconnus, d’examiner la pertinence des savoirs traditionnels qu’il conviendrait, pour ne pas les figer dans une temporalité dépassée, d’appeler des savoirs autochtones.
Pour lire la suite de cet article, cliquez ici sur le site de l’Encyclopédie du développement durable.