Déjà affectés par la multiplication des stations de skis et autres installations humaines, les grands tétras doivent également faire face aux chasseurs qui veulent les buter. L’espèce se retrouve en danger de disparition.
Putain de Dieu, que les chasseurs font chier. On parle du grand tétras, Tetrao urogallus, autrement appelé « grand coq de bruyère ». Une merveille venue droit des temps glaciaires, que les spécialistes nomment une relique. Le mâle peut atteindre 5 kg, la femelle dépasse à peine les 2 kg. Les deux sont très différents et se parent de toutes les couleurs du monde : le rouge, le gris, le noir, le blanc, le roux. Ce sont des oiseaux, bien sûr, planqués dans quelques recoins des Vosges, du Jura et surtout des Pyrénées.
Pour lire la suite de cet article de Fabrice Nicolino, rendez vous ici sur le site de Charlie Hebdo.