Enquête auprès de ceux qui travaillent auprès du canal de l’Escaut, à l’occasion d’une rencontre internationale le 4 décembre à Lille pour tenter de restaurer sa biodiversité touchée par la pollution du sucrier Tereos.
par Anne Henry
En avril 2020, la rupture d’une des digues du sucrier Tereos, près de Cambrai (Nord), avait lâché l’équivalent de 300 conteneurs de pollution organique, éradiquant les poissons sur 70 km en France, en Belgique et aux Pays-Bas. Ce 4 décembre se tient à Lille pour la première fois une rencontre internationale pour tenter de restaurer la biodiversité du canal de l’Escaut.
Quelles sont les attentes ?
Rencontre avec Benoit Gauquie, naturaliste du Parc Naturel des Plaines de l’Escaut, Elise Caron, chargée de mission coopération transfrontalière au sein des deux parcs naturels de l’Escaut en France et en Belgique, et Pascal Rouder, inspecteur des voies hydrauliques belges. Ils témoignent comment ils ont vécu cet accident et leurs souhaits en matière de réparation de l’Escaut.
Cliquez ici pour écouter l’enquête diffusée sur la Radio RCF.