À quatre kilomètres du centre-ville, le jardin du Conservatoire botanique national de Brest, lové au cœur d’un vallon de 30 hectares, offre un patchwork de milieux abritant plus de 2 000 espèces de plantes menacées d’extinction en provenance du monde entier. On y découvre des espèces de Bretagne, de Chine, de Nouvelle-Zélande ou des Amériques… À découvrir en toutes saisons, après la fin du confinement bien sûr !
par Myriam Goldminc
L’histoire du jardin du Conservatoire botanique national de Brest commence par la rencontre entre deux projets, celui de la ville qui, dans les années 1970, après s’être reconstruite, souhaitait créer des espaces verts et celui d’une équipe de botanistes animés par la volonté de préserver les plantes en voie de disparition. Le site d’une ancienne carrière est choisi pour la douceur de son climat océanique et la présence de différents milieux. Le jardin va s’implanter le long du vallon de Stang Alar sur deux kilomètres au milieu duquel coule une rivière. Falaises, pelouses, bois et étangs complètent ce décor bucolique et offrent un microclimat favorable pour les plantes des cinq continents.
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