La question animale sera l’une des interrogations majeures de notre siècle. Le ton est ainsi donné actuellement dans la presse.
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Elle touche différents domaines, comme la vie quotidienne, l’environnement, l’alimentation, la santé, la prévention de la violence, l’identification des violences intrafamiliales, la délinquance, la criminologie en étant attentif à la maltraitance animale comme signal d’alerte sur des individus à risque…
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Plusieurs ouvrages viennent de sortir, dont Les animaux aussi ont des droits (éditions Seuil). Au programme, des entretiens avec l’éthologue et neuropsychiatre Boris Cyrulnik, la philosophe Élisabeth de Fontenay, ou encore le bioéthicien britannique Peter Singer. Au-delà de ces utiles mises au point sur l’état de la réflexion aujourd’hui, l’ouvrage permet en filigrane de comprendre pourquoi la France a encore autant de mal à parler d’éthique animale. Une réticence aux racines profondes qui nous renvoient à notre histoire et donc à notre culture. Comme le résume très bien l’article de Stanislas Kraland, journaliste au Huffington Post :
http://www.huffingtonpost.fr/2013/05/02/30-millions-dennemis-pourquoi-la-france-bloque-sur-le-droit-des-animaux_n_3202355.html
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Un mouvement français a depuis plusieurs années généré un impact médiatique certain, qui a réussi à faire de la question animale un sujet de société. La condition animale, un enjeu sociétal et une révolution en marche : http://www.huffingtonpost.fr/karine-lou-matignon/droits-des-animaux_b_3184432.html
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Il reste maintenant à traduire cela en succès politiques… C’est ce qu’a voulu démontrer Melvin Josse, doctorant en Sciences Politiques dans son ouvrage : Militantisme, politique et droits des animaux.
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Enfin, dans le nouveau site Politique & Animaux, découvrez quels politiciens agissent pour ou contre les animaux : http://www.politique-animaux.fr/
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