L’auteure est cofondatrice et aujourd’hui présidente de Sea Shepherd France. Elle nous raconte l’homme de l’intérieur, son caractère réel, ses réflexions profondes. Avant qu’elle participe à sa première campagne, Watson lui a demandé si elle était prête à risquer sa vie pour une baleine. Depuis, elle a fait sept campagnes. Pour qui ne le saurait pas, vu le peu d’importance que lui accordent les médias français, le capitaine Paul Watson est un héros international de la protection des océans.
Cofondateur de Greenpeace, qu’il ne juge pas assez efficace (et qui ne lui fait pas de cadeau), il fut le premier homme à s’interposer entre une baleine et un harpon. Entre autres exploits, le pirate a coulé la moitié de la flotte baleinière islandaise, éperonné et détruit des navires de pêche illégale dans le monde entier. Sans jamais faire de victime, ce qui n’empêche pas ses détracteurs de le considérer comme un abominable terroriste. L’homme n’a que faire de ce qu’on pense de lui, uniquement préoccupé par l’avenir des océans. Il agit, et les résultats sont là : des massacres et des trafics illégaux ont été arrêtés, des millions d’animaux ont eu la vie sauve grâce à sa ténacité.
Voir également le site de Sea Shepherd : www.seashepherd.fr
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Glénat, 256 pages, 22 € – www.glenat.com
Contact presse: Caroline Messageot Vacarie. Tél.: 01 41 46 10 31 – caroline.vacarie@glenat.com
(Marc Giraud)