Les méga-bassines reposent aujourd’hui sur la théorie des hivers pluvieux, une théorie bouleversée par le réchauffement climatique. Or, le 15 mars dernier, Michèle Rousseau, PDG du BRGM, l’établissement public en charge d’expertiser l’impact des méga-bassines sur la ressource eau, déclarait lors d’une audition devant les parlementaires que leurs études étaient surinterprétées… et faussées !!!
Le BRGM n’a pas pris en compte l’impact du réchauffement climatique et les activités humaines. Un oubli lourd de conséquences, en particulier pour les agriculteurs qui risquent de se retrouver le bec dans l’eau en cas de sécheresses sévères. Pourquoi avoir attendu tout ce temps pour le dire ? Pourtant, l’INRAE et l’Université de Rennes avaient alerté dès 2019 : « Si la représentation du cycle de l’eau est fausse, il est difficile ensuite pour les décideurs et les citoyens de se rendre compte des enjeux et des problèmes que la ressource en eau peut générer. »
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