La priorité pour Marine Tondelier, candidate à la succession de Julien Bayou à la tête des Verts : la fondation d’un grand mouvement de l’écologie politique. « Il faut qu’on arrive à se réorganiser car en face, ils le sont. »
Reporterre — On vous connaît parce que vous bataillez à Hénin-Beaumont, face au Rassemblement national, qui dirige la municipalité. Vous êtes née dans le Nord ?
Marine Tondelier — Oui. J’ai deux grands-parents qui sont de Beaumont-en-Artois, ils étaient agriculteurs et sont encore en vie. Les deux autres grands-parents étaient pharmaciens à Hénin-Liétard. Les deux villes ont fusionné pour donner Hénin-Beaumont.
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