Une raison majeure du désarroi de la gauche est qu’elle n’a pas achevé sa mue idéologique. Si elle a intégré l’exigence écologique, elle n’en a pas encore tiré les conséquences : dire aux classes moyennes qu’il faut réduire la consommation matérielle et aller vers une société du lien.
À l’orée d’une année qui va engager le pays pour cinq ans, il serait facile de déplorer l’éclatement de la gauche, la faible capacité de l’écologie à s’imposer dans le débat politique, le caractère apparemment inexorable des politiques de droite autoritaire ou extrême.
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