Cette image de l’agence Reuters a fait le tour du monde et a frappé les esprits.
Les pieds dans l’eau, le ministre des Affaires étrangères du Tuvalu, Simon Kofe, s’adresse aux autres dirigeants de la Cop26 de Glasgow, afin qu’ils fassent avancer le dossier « pertes et dommages », le troisième pilier de l’Accord de Paris pour le climat. Le Tuvalu brandit une menace juridique : saisir le Tribunal international du droit de la mer sur les possibles responsabilités des États en matière d’émission de carbone…
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