Une grande partie des journalistes pigistes a désormais le droit au chômage partiel. Vous trouverez plus de détails dans ce communiqué que nous avons signé aux côtés de plusieurs syndicats et associations de journalistes.
par Carine Mayo
En principe, ce sont les employeurs qui doivent contacter les journalistes pigistes pour leur signifier leur droit au chômage partiel. Mais si tel n’est pas le cas pour vous, n’hésitez pas à contacter les organisations syndicales SNJ, SNJ-CGT, CFDT-Journalistes ou SGJ-FO qui se mobilisent dans les entreprises de presse pour faire appliquer le décret.
Pour les photographes (et ceux qui sont multi-statuts), ce message de l’association Divergence Images :
-> pour celles et ceux en lien avec des pigistes qui ont d’autres statuts/activités (notamment les photographes artistes auteurs Agessa ou micro-entrepreneur), n’hésitez pas à leur dire qu’ils peuvent tout à fait candidater à des aides spécifiques mises en place pour ces activités-là, à commencer par le Fonds de Solidarité du Gouvernement (les 1500 €). Et que c’est cumulable avec une activité de pigiste salarié.
Le collectif Profession : Pigistes a également mis en place une enquête pour identifier les journalistes pigistes qui ne seraient pas pris en compte par ces mesures (questionnaire à remplir ici).
En espérant que vous êtes en bonne santé et que ces informations pourront vous être utiles.
Bien à vous.