Il avait raison d’essayer, il a été courageux de partir.
par Claude-Marie Vadrot
En quittant ses fonctions parce qu’il était en train de se rendre compte qu’il allait devoir mentir aux deux journalistes de France Inter qui l’interrogeaient et trouvait cela insupportable, Nicolas Hulot a rappelé à ceux qui l’avaient oublié, qu’il n’était pas un homme politique et que leur longue fréquentation, bien avant Macron, ne l’avait pas transformé.
Militant il était, militant il est resté malgré les embûches et les mensonges qu’il a dû accepter depuis son entrée au gouvernement. Il sort de cette période blessé mais pas vaincu. Au contraire puisque jusqu’au dernier moment il n’a pas respecté les codes imposés par la participation à un gouvernement.
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