« Les JNE nous font nous sentir moins seuls », explique Laure Noualhat. Cette ancienne de Libération, aujourd’hui réalisatrice de documentaires (notamment pour Arte) regrette que l’association ne se pose pas assez en groupe de pression pour porter des débats. Dans ce portrait réalisé par Richard Bonnet et monté par Pierre-Yves Touzot, cette journaliste, connue pour ses hilarantes vidéos sous le nom de Bridget Kyoto (aujourd’hui en « cryogénisation »), raconte son parcours et nous incite à ne « rien lâcher ».
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