Les rendements de l’agriculture biologique, un quiproquo tenace

Dans un article récemment publié sur son blog, l’agronome Jacques Caplat, membre des JNE, bat en brèche certaines idées reçues sur l’incapacité supposée de l’agriculture biologique à nourrir une humanité en expansion rapide. Vu l’importance du débat, nous avons jugé utile de reprendre sur le site des JNE le début de ce texte, dont vous trouverez l’intégralité ici sur le blog de Jacques Caplat.

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par Jacques Caplat

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Lorsqu’est abordée la question, essentielle, de la lutte contre la faim dans le monde, il est fréquent d’entendre dire que l’agriculture biologique présente des limites à cause de ses rendements inférieurs à ceux de l’agriculture conventionnelle, prétendument démontrés par plusieurs « études scientifiques ». J’ai largement démontré dans mes livres, et résumé dans un précédent article, à quel point ce poncif est faux et trompeur. Il est toutefois utile que je développe ici les raisons pour lesquelles cette idée reçue témoigne d’une approche scientifique archaïque et quels sont les malentendus s’y relient.

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