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Comment avoir un beau jardin lorsque le jardinier est absent la majeure partie du temps ? Notre consœur qui ne pratique le jardin que le week-end reconnaît les inconvénients. Certaines pratiques comme renouveler le cercle de cendre anti limaces après chaque pluie sont quasi impossibles. Pas simple non plus de réussir les premiers semis. Une grosse journée de sécheresse est souvent fatale. Mais il y a aussi des avantage pour peu qu’on sache prendre du recul et laisser faire. Dans un jardin laissé à lui-même, la sélection des plantes se fait naturellement et les bonnes surprises n’en finissent pas d’émerveiller le jardinier du week-end (les autres aussi d’ailleurs). Tout est question d’équilibre et, pour y arriver, il faut juste de l’attention, de la modestie, un peu de patience et le désir de tester, d’expérimenter et… de s’affranchir des règles établies. Sandrine Boucher propose donc d’apprendre à ne faire que le minimum, le temps d’un week-end, pour mieux tirer parti de l’existant. De fait, ce livre est utile à tous les jardiniers car c’est une mine d’infos et d’astuces pour ne pas être esclave de son jardin.
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Éditions Terre vivante, 120 pages, 14 € – www.terrevivante.org
Contact presse : Agathe Béon. Tél.: 04 76 34 26 60 – agathe.beon@terrevivante.org
(Danièle Boone)
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