Les JNE sur la toile et les réseaux sociaux

En 2017, le nombre de pages vues sur le site des JNE a dépassé le million, contre 540 000 en 2016.

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par Laurent Samuel

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Le nombre de « hits » (requêtes d’accès à un fichier formée lors de l’appel d’une page web par votre navigateur) a en revanche baissé : 2 millions, contre 2,6 millions en 2016. Le nombre de visites a aussi diminué : 151 000 en 2017, contre 186 000 en 2016. Celui des « visiteurs différents » (internautes qui consultent une série de pages web consécutives ou effectuent une série de requêtes) s’établit à 65 000, contre 80 000 en 2016. En résumé, le site des JNE a enregistré moins de visites et de visiteurs en 2017, mais les internautes y consultent davantage de pages.

Le compte Twitter de l’association (@AssoJNE) a continué à progresser, approchant la barre des 2400 abonnés début 2018, contre 1900 fin 2016 et 1400 fin 2015. Plus de 2200 messages (ou « tweets ») y ont été postés depuis sa création, dont environ 400 pour l’année 2017. Ils annoncent les nouveaux articles mis en ligne sur le site des JNE (avec le lien pour chacun), et relaient (« retweetent ») des informations « tweetées » par des adhérent(e)s des JNE et des associations « amies » comme l’AJE (Association des journalistes de l’environnement) ou l’AJSPI (Association des journalistes scientifiques de la presse d’information).

Le groupe Facebook des JNE, réservé aux adhérents de l’association, compte 153 inscrits, soit plus de la moitié de nos membres. Chaque adhérent peut y « poster » des messages (option que peu d’entre eux utilisent!), et l’équipe d’animation du site des JNE y met en ligne des informations sur la vie de l’association ainsi que l’annonce des articles publiés sur le site et certaines activités et publications des adhérents.

L’association anime aussi une page Facebook, accessible à tous les internautes : www.facebook.com/AssoJNE/

Celle-ci compte près de 900 abonnés et 900 mentions « j’aime ». Sa consultation régulière permet d’être informé sur les nouveaux articles mis en ligne sur le site des JNE, ainsi que sur certaines activités et publications des adhérents et sur quelques actualités sur l’environnement jugées prioritaires par ses animateurs.

On constate donc que les adhérents – et les internautes en général – s’informent de plus en plus sur les activités de l’association via les réseaux sociaux (Twitter et Facebook), cela au détriment du site internet des JNE, dont la fréquentation reste cependant importante.

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